Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/160

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GM auflî ces côtés ne changent-ils point de couleurs par la réfraction, dès qu'ils font ter- minés nettement. D'ailleurs j'obfervai que torfqu'unë\droite, telle queyP, coupoit le Spectre en quelque endroit entre les deux cercles extrêmes TM F, P G A de manière que fes extrémités fufïènt perpendiculaires aux côtés rë&UignèSjQn voyoitfur touteeetEe ligne une feule &même couleur. Ainfi, après, avoir tracé fur un papier le périmètre du fpeclre F APGMT, je fer tomber le ipeâre -mêine fur; cette figureî;jde: forte qu'il s'y., adaptât, exactement. Tandis que je tenois ce papier,; une përfbnne dont la vue éîoit pénétrante & ;qui pouvoit mieux que: moi difcerner les; couleurs, tirant à travers je fpe^e les droites « g y$, s Ç, &c, marquoit 'les confins des; cojitenrsj celles du ropgê en-M«j8F, de l'orangé en «.y J^/S du jaune/ çn y*Ç.S~*du veft.en e»,6|, du bleu en, tmclSy:de [ lïhdigo eà /A/*«y §c du. violet en- KGkfJL.^ Cette opération ayant été répétée, fur le même papier Sefur pluèeurs autres, les ob- fexvations parurent s'accorder aflèz bienj & les côtés re<ai%ne&. MG, AF fe trouvèrent