Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/163

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l'air- pafle dans différents milieux contigus, ?comme l'eau & le verre, d'où elle repalTedans i'airi) refte blanche (H,), foie que les furfaces ré- 'firingeptes foient parallèles ou inclinées l'une a Vautre j pourvu tourefois que les rayons émer- gents reftent parallèles aux rayons incidents: - f inon, elle parojt colorée àfes confins, &tou- jours d'autant ,plus .colorée qu'elle s'éloigne

-p!urs;)),a;ut¡lP~ppI,JS,09r~e!CjL1@,~

¡,H.21g~e «davantagedu dernier milieu d'où elle émerge. - Ce dont je me fuis afluré, en réfractant la Jumière avec des pfifmes de verre plongés jdans.un vafe prifrnatique plein d'eau. Dans le • dernier, cas,, les rayons hétérogènes Ce fépareiit idonc -les uns des autres par l'inégalité de leurs

réfraâions; ce qui n'arrive pas dans le pré>

mier cas. D'où je crois devoir déduire ces deux .Théorèmes. I.THÉôRàME. Les excès des Jinus de ré- fraElion des rayons hétérogènesfur leur commun Jurns" d'incidence iorfque, les rayons traverfent "divers milieux plus 'denfes que l'air 3 font entreeux .q.t-r. ,~J"I,~11: j' en proportion donnée. r ••,

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1 ' II.T h É o r àmE. Le' Jinus d'incidence ejl <aujinus de réfraction des rayons homogènes tî&