Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/177

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on continue de la voir oblongue & colorée. Mais fi on s'en éloigne, fes couleurs fe ref- ferrant ide plus en_ plus s'évanoarflènt enfin tout; à fait:}alors oh la v.oit parfaitement ronde & blanche » comme en S. Si on s'en éloigne davantage ;j-:fts:;cQiiîeurs rep&roitroht mais en ordre inveEJfëi •• v L'image S paraît blanche, lorfqié les rayons hétérogènes,qui de ces divers endroits fe réunif- ient au prifmë %tb c ;'fyuâ$eiMï dés réfracliîons fît;inégales3 q!1:è~: paifanv~u priftwe à, l'aeliils divergent d'un feul point, ide;; l'image S Se tombent fur un.feul point au fond de l'œil, où =ils font «iélés^&; cqnfondns. | _> Au refte, fi fa couleurs d^ijfimage- PT font fucceflîvement interceptées par les dents- du peigne, l'image S paro'itra formée de couleurs fucceflives ,;taiit que le peigne fera mu lente- ment. Mais fi fou mouvement devient zSëz accéléré, pour,. que. la fuccelîîon des couleurs fpit fi rapide -qu'on ne puiflè les,,diftinguer l'une après l'autre j la fenfation confufe de leur mélange fera paraître blanche cette image. L O:7,{}:v/ XII. Expérience. Lefoleil donnant à