Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/201

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gai fê répand fur les parties voifines du noir auffi ces couleurs parôiflènt-elles dans un ordre bppoféi Il en eft de même ïorfqu'on regarde un objet dont quelques parties font plus ou moins lu-» mineufes car aux confins de ces parties les couleurs doivent toujours provenir de l'excès de la lumière des plus lumineufesj avec cette différence; qu'elles feront plus foiblés que û lés parties obfcures étoient noires. Ce qui vient d'être dit des couleurs produites par le prifme peut aifémerit s'appliquer aux couleurs produites par les verres d'une lunette, d'ûii microfcope » où par les humeurs de l'oeil* Car fi l'objectif eft plus épais d'un côté dit fi une moitié de l'objectif ou de la cornéô tranfparente eft couverte d'uftë fubflance opà-" que quelconquela pariiie de l'objectif" ditt dé l'œil qui n'eft pas couverte pëtti être eori^ fidérée comme un coin à cètés recourbés bf tm coin de verre où de toute autre iïiatièri tranfparente faiti'office de prifffie* Là lumière du foleii étant jaune, l'excès des rayons bleus dass un faifceati réfléchi psul