Page:Isaac Newton - Principes mathématiques de la philosophie naturelle, tome2 (1759).djvu/344

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
155
DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE

K 900 CAULI SE CTIOΝ II DE L’ATTRACTION DES CORPS en ayant égard à leurs figures. PREMIERE PARTIE. De l’attraction des Corps ſphériques. I. PROPOSITION I. PROBLÉME.I. Rouver l’attraction de la ſurface ſphérique dont le diamétre T A B ſur un P placé ſur le prolongement de ce diamétre, en fuppoſant que toutes les parties de cette ſurface ſphérique attirent comme une puiſſance quelconque n de la distance. On imaginera la ſurface ſphérique ACB compoſée d’une infinité de petits cones tronqués produits par la révolution des élémens I HQ q autour de l’axe A B, & on commencera par chercher l’attraction de toutes les petites zones ou ſurfaces coniques HI. Ayant donc fait les lignes P I PS= 2. f. AS = SE=u. je commence par chercher la valeur du coſinus de l’angle IP Q pour le rayon 1. elle eſt F = ²² +f²=² ; & le ſinus PE PS 22 du même angle pour le rayon PI eſt P Q = ²+²=², 2 f donc d P Q = ! = 2 Fig. to