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DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE

PROPOSITION VII. PROBLEME VII. Trouver l’attraction de la même ſurface Sphérique, en ſuppoſant n= X V. Confervant les dénominations de la Propofition précédente, & ſubſtituant dans l’expreſſion qu’on y a trouvée à la place de n fa valeur on verra que tous les termes difparoiffent, & que par conſéquent dans cette loi d’attraction un corps placé dans l’intérieur d’une fphére creuſe n’éprouveroit aucune attraction. X V I. PROPOSITION VIII. PROBLÉME VIII Trouver l’attraction de la ſurface ſphérique AIBA, en ſuppoſant 11 — 1. Gardant les mêmes dénominations que ci-deſſus, on aura dans 4 (F-S² = 8 +f" g-f 4 cg 2 rf² XVII. COROLLAIRE. cette hypothèſe —f—g*)) qui ſe réduit à 5 x — 4 fº¹ g 0ll1 — cg 2 rf² X pour l’attraction de la ſurface AI, laquelle tirera le corps vers S puiſque l’expreſſion eſt négative. 2 2 Imm 2 f+B 2cfg² 2 cfg ²d g Multipliant cette quantité par dg, on aura pour l’attraction de l’orbe infiniment mince AIi fur le corpuſcule P vers S, & ſon intégrale exprimera l’attraction 3 2 cfg ³ 3 T T Fig. S. Fig. 6.