Page:Isis Copia - Fleurs de rêve, 1911.pdf/88

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Et parfois je me sens si douce,
Douce à pleurer,
Rien qu’à toucher la tendre mousse,
Où l’effleurer…

Ce soir je te vois, c’est un rêve
Et qui finit !
Tu disparais, au chagrin trêve
Adieu, mon nid !!

Je t’aime, ô Liban, je t’adore !
Liban, adieu !
Dans ce mot mon cœur s’évapore…

Adieu ! Adieu !