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Page:Ivoi - L’Aéroplane fantôme.djvu/356

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L’AÉROPLANE-FANTÔME

poussière de charbon, continuaient leur labeur, avec l’entrain de gens qui touchent à la fin du travail.

Siemens et Pétunig s’étaient abrités sous la passerelle, somnolant, ne s’inquiétant plus guère des prisonnières.

Un coup de sifflet se vrilla dans l’air. Les coltineurs regagnèrent le quai avec hâte. Le chargement était achevé, et les marins du bord commençaient à laver le pont couvert de la poudre noire du combustible. Pétunig vint à Miss Édith :

— Pendant un moment, on va faire la toilette du navire, dit-il, vous