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LES ASSOIFFÉS DE LUMIÈRE.

— Il est vrai que si ces messieurs ne m’avaient pas mis, malgré moi, en posture de découvrir le secret du poussoir, je ne me serais douté de rien.

Et après une inspection rapide des fausses cheminées :

Il appuya fortement sur le tube.
Il appuya fortement sur le tube.

— Non, rien. Ce conducteur traverse le toit ; mais dehors, impossible de dissimuler les fils ! Enfin, allons voir, tout ce que je pourrais dire ne vaudra pas un coup d’œil.

Deux lucarnes-tabatières étaient, ménagées dans le plafond du grenier.

Quoique éperonné par une curiosité croissante, le jeune homme prit le temps de les considérer attentivement.

L’une n’avait pas été ouverte depuis de longs mois. Son armature de fer avait perdu sa couche de peinture, la rouille l’avait envahie, et il fallait un effort violent pour la faire tourner sur ses charnières.

La seconde, bien qu’oxydée également, fonctionnait avec une facilité relative.

— C’est, donc, par celle-ci que passaient les habitants mystérieux du bastidou, se dit Max. Suivons le même chemin.