Page:J.-P.-R. Cuisin - La Volupté prise sur le fait, 1815.djvu/19

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de l’ouvrage que je cite, il est inutile d’augmenter vos regrets, en m’étendant complaisamment sur toutes les beautés qu’il renferme : loin donc d’avoir voulu ici éveiller malignement vos sens et votre curiosité, sans la satisfaire, je prétends au contraire vous associer à mes charmans travaux, à mes rondes de nuit ; venez, cher lecteur, et même chère lectrice ; donnez-moi votre belle main, madame, prenez cette lanterne sourde et ce gros paquet de clefs dont un savant limier de