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Page:J.-P.-R. Cuisin - La Volupté prise sur le fait, 1815.djvu/90

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ont laissée des fêtes du dieu Priape, lorsque des capanées impudiques portaient en triomphe et comme un objet de vénération publique, ce qu’il n’appartient pas à la pudeur de ma plume de désigner ici par son véritable nom, et ensuite enivrées par les libations des sacrifices, se faisaient un devoir fanatique de livrer à des priapées leurs adolescens attraits, et mettaient une espèce de défi et d’orgueil dans l’excès même de leurs dissolutions, de leurs attitudes déhontées, et de leurs mouvemens effrénés… On nous a parlé souvent, dans des fables historiques, des mœurs et de la liberté criminelle dans laquelle vivaient les Cafres, les Hottentots au milieu de leurs