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REFRAIN PRUSSIEN.
Janvier 1871.
uit heures ont sonné. Le major sort de table,
Et je viens d’avaler mes derniers saucissons.
Aux pièces ! Bombardons cette ville imprenable :
Bombardons, bombardons !
Par ce froid glacial s’endormant à leur aise,
Les Parisiens ont chaud dessous leurs édredons ;
Réveillons-les avec nos bons boulets de seize :
Bombardons, bombardons !