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RIPARDOS, bas Frimousquino.
Il est stupide !
FRIMOUSQUINO.
Idiot !
LÉONA.
Charmant.
GUARDONA.
Mais qu’est-ce encore que nous attendons, beau-père ?
PÉRONILLA.
Nous attendons le notaire : monsieur le marquis excusera cet homme de plume.
DON HENRIQUE.
Certes ! ne vous occupez pas de moi ; je fais mon compliment à la mariée, qui est adorable dans sa blanche toilette ! (Il va causer avec Manoëla.)
PÉRONILLA.
Il vous est très-attaché, le marquis !
GUARDONA.
C’est un frère ! Il s’occupe de mon… comment dirai-je ?… de mon bonheur, comme s’il s’agissait du sien propre !
LÉONA.
Vous êtes d’anciens amis
GUARDONA.
Comment donc ! Tenez ! voulez-vous une preuve ? Il y a un mois, à peine, je ne le connaissais pas ! mais aussitôt que fut arrêté mon mariage avec la belle Manoëla…
PÉRONILLA.
Vous ne vous quittez plus ?
GUARDONA.
Non ! nous sommes… ne me soufflez pas ! nous… som-