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––––Mon chagrin n’est plus quand je la revois ! (Bis.)
––––––––––Peine cruelle
––––––––––Cesse près d’elle !
––––––Ne me chasse plus loin de toi !
––––––––––Non, loin de toi !
RIPARDOS, parle, entrant précipitamment.

Cette voix !

FRIMOUSQUINO.

Ce chanteur !

RIPARDOS.

Serait-ce lui ?

FRIMOUSQUINO, s’approchant.

Alvarès !

TERZETTO.
ALVARÈS, seul.
––––––––Quelle est donc cette joie ?
––––––––Quels amis généreux !
––––––––On me fête, on me choie,
––––––––Mon sort est trop heureux !
LES DEUX AUTRES.
––––––––Le voici ! quelle joie !
––––––––Le hasard est heureux,
––––––––Qui soudain nous envoie
––––––––Notre bel amoureux !
ENSEMBLE.
ALVARÈS.
A mes yeux l’espoir brille,
Plus d’effroi, de courroux !
Amoureux, jeune fille,
La victoire est à nous !
LES DEUX AUTRES.
Enfoncés, la famille,
Les parents, les jaloux
Amoureux, jeunes filles.
La victoire est à vous !
FRIMOUSQUINO.
––Vous arrivez à temps !
ALVARÈS.
––Vous arrivez à temps ! J’arrive à temps ?