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Scène IX

Les mêmes, GUARDONA, LE NOTAIRE, LES DEUX VELASQUEZ.
GUARDONA.

Me voilà ! me voilà ! Et ce n’a pas été sans peine.

DON HENRIQUE.

Eh ! c’est ce cher Guardona !

PÉRONILLA.

Tiens, mon gendre numéro 1 !

GUARDONA, à Manoëla.

Madame, j’aime à penser que vous trouverez une explication honnête pour justifier votre… votre…

DON HENRIQUE.

Vous trouverez le mot, vous, mais plus tard, mon cher Guardona ! Vous soupez aussi, n’est-ce pas ?

GUARDONA, flairant les comestibles.

Je soupe ! Les agitations de l’âme n’imposent pas silence aux… ne m’aidez pas !…

ALVARÈS.

Aux besoins de la bête !

GUARDONA.

Aux besoins de la bête ! Ah çà ! qu’est-ce qu’il me fait dire ?

PÉRONILLA.

Des bêtises ! (Entrée des Velasquez et du notaire.) Encore ! — Quatre rallonges, et quatre couverts !

LES DEUX VELASQUEZ.

Où faut-il signer ?