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mon absence demeure. Mon père, fatigué, relève la tête lorsque retentit le marteau de la porte sous la main du facteur : Est-ce une lettre de notre fils ? Est-ce une lettre de mon mari ? Est-ce une lettre de notre père ? Ainsi s’interroge-t-on à part soi.
Si ce n’est pas l’une de mes lettres, que ce soit toujours ma prière qui communie avec ces amours qui n’en font qu’un. Seigneur, laissez venir vers moi ces petits que vous avez laissés venir à vous. Seigneur qui ne
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