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Et le voyageur des siècles futurs, plein des rythmes solennels de celui-ci ou de la sobre parole de celui-là, s’il passe par Orlhez ou Cérilly, ne songera même plus qu’il ait pu exister des statues de l’un ou de l’autre.
Mais soudain les deux poètes lui apparaîtront : Vigny dans un végétal d’or qui parle comme un Romain dans l’orage, et Philippe dans un petit atelier qui sent la soupe et dont la porte, en s’ouvrant, tinte.