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Page:Jammes - Le Poète et l’Inspiration, 1922.djvu/32

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aux grâces qu’ils reçoivent ces hommes, plutôt méprisables, qui, les cheveux couronnés de narcisses, la flûte aux lèvres, se plaisent à instruire les sansonnets ? . . . . . Ces hommes encore à qui les siècles prêtent tant de folies, comme d’immoler un bouc sous des rosés ?

Assimiler aux saints les poètes en général, Dieu m’en garde ! Et quelque admiration que je professe pour Verlaine,