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et du mauvais esprit qu’impose parfois l’examen du saint le plus authentique ?
Quelle part faut-il faire à l’imagination dans l’œuvre, édifiante pourtant, d’une Catherine Emmerich—à l’inspiration démoniaque dans la vie d’une Marie de Jésus crucifié ?
Ici toute latitude est laissée, tout jugement, à l’autorité de l’Église.
Mais avec le poète nous en