Page:Jammes - Le Poète et l’Inspiration, 1922.djvu/54

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des campanules et deux sous français, disposés bien soigneusement, pour consoler son triste cœur ! Et cette nuit-la, quand je fis à Dieu ma prière, je pleurai et je lui dis : « Ah, quand à la fin nous serons là couchée et le souffle suspendu, ne vous causant plus de fâcherie dans la mort, et que vous souviendrez de quels joujoux nous avons fait nos joies, et combien faiblement nous avons pria votre grand commandement de