Cette page n’a pas encore été corrigée
La description des supplices est atroce.
L’un d’eux, un mandarin, je ne sais plus son nom
— ils ont tous l’air de s’appeler la même chose,
Yung-toung-kang* ou Kang-tu ou Kang-tong-kong
(Mme Larribeau sourit.)
DUPOIX
Faisait semblant, dit-on, d’appeler notre armée
au secours de cette quantité de missionnaires.
Mais quand on envoyait à ce fonctionnaire
les soldats en question, il vous les massacrait,
et c’est lui qui faisait tuer les missionnaires.
Mme LARRIBEAU
Si c’était encore des missionnaires protestants !
LARRIBEAU
Aline, ta religion est extravagante.