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DYCK (Anton van), né à Anvers en 1599, mort à Londres en 1641. (Ecole Flamande.)

Son père, bon peintre sur verre, le plaça chez van Balen, où il resta deux ans ; ensuite il alla travailler dans les ateliers de Rubens. Il y fit des progrès si rapides que bientôt il put l’aider dans ses nombreux travaux. Van Dyck, dans ses tableaux et ses portraits, savait joindre les perfections de l’art aux charmes de la vérité. Si on ne le place pas, comme peintre d’histoire, au même rang que Rubens, on convient qu’il l’a surpassé par la délicatesse des teintes. Il n’a pas eu, il est vrai, la même abondance de génie, mais il avait des expressions plus fines, un meilleur caractère de dessin et plus de vérité dans la couleur.

87. Sainte Famille.

La Pinacothèque (Musée de Munich) possède une répétition de cet ouvrage, avec quelques variantes.

H. 1.18. — L. 1.19. — T. — Fig. gr. nat.

M. C.

88. (Attribué à.) Tête de vieillard. Etude.

H. 0.47. — L. 0.46. — B. — Gr. nat.

Don du Gouv.

89. (D’après.) La Vierge et l’Enfant-Jésus.

H. 1.33. — L. 0.99. — T. — Dem.-fig. gr. nat.

90. (D’après.) Ecce Homo.

H. 0.55. — L. 0.46. — B. Dem.-fig. 0.43.