Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/178

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de leur mieux une vie de chanoine tout empreinte d’un tranquille bien-être pour soi-même et d’une active charité pour les autres, le digne homme fut écouté avec attention :

— Par saint Antoine, s’écria-t-il, voilà une belle discussion sur la peine de mort ! M’est avis, Messieurs, que vous en agissez bien à votre aise ; si, comme moi, vous aviez manqué mourir d’une indigestion, vous parleriez de la mort avec plus de respect.