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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/247

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XXII.

LE GEÔLIER.


Cet homme, mais peut-on l’appeler un homme ? avait été vaincu, aussi bien que moi, par cette beauté sans rivale. Pourtant, une rude écorce enveloppait le cœur de cet amant étrange. Il n’avait guère été plus heureux que la misérable dont il était le gardien. Il était né dans cette prison, dont son père était le geôlier avant lui.