Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/65

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père. Écoutez : quel bruit affreux ! un bruit massif vient de tomber du haut du pont dans les flots de la Seine ; ô misère ! ce noyé-là, était peut-être un jeune homme ! Passez votre chemin et soyez sans inquiétude : rien ne se perd dans les ténèbres et dans les flots.

Et voilà comment, de ces sensations incomplètes et de cette horreur bâtarde, infortuné ! je tombai dans cette affreuse vérité qui, semblable à la tache d’huile, allait s’étendant toujours.