Page:Janin - Les catacombes, tome 3.djvu/186

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J’imagine que dans tes villes croyantes de la province, au cœur ou à l’extrémité de la France, on aurait peine à se figurer le malheureux état de la religion catholique à Paris. Depuis la grande secousse de 89 le catholicisme était bien malade : la révolution de 1830 l’a tué tout à fait. Bonaparte rendit, il est vrai, au culte chrétien ses monuments et son éclat extérieur, comme il rendit au palais des Tuileries, et à peu près par la même raison,