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Page:Janin - Les catacombes, tome 4.djvu/252

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Charlet, j’aime vos enfants autant que j’aime vos soldats.

Vos soldats sont goguenards, spirituels, insouciants, flâneurs ; vos enfants sont vifs, jolis, musards, malins ; mais il me semble que, comparés à ce que vous faites pour vos grognards, ou seulement pour vos conscrits, vous êtes un père bien dur pour vos enfants, mon bon Charlet !

Vous donnez à vos soldats tout ce que vous