Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
203
l’amour en visites
le scythe albain
Derrière la profondeur des murailles, ils font bonne chère avec les fruits d’or du jardin.
alau, sire du levant
Que l’armée hiverne encore et pille jusqu’à la grandissime cité de Sapurgan, car nous attendrons une année encore.
(Ici la toile baisse.)
Scène III
les mêmes
alau
Sont-ils morts ?
l’astrologue chrétien
Le château est muet comme s’il n’y avait pas de château ; le vent siffle vide après le bout d’une corde d’or. Il y a dans l’air de la poussière d’os.