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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/277

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viii
sur la route de dulcinée

La lampe brûla sur la table rouge et respira son cri de grillon. Les murs étaient tendus de vert jaune, et ce fut aussi bien le chant des élytres des insectes de la mousse, que le déchirement intime du tronc du soufre au cœur cristallin.

Du noir enivré posa ses mouches sur le masque blanc regardant par le mur, et sous le moulage Valens se mit à apparaître et vivre. Il souleva un peu vers les coins extérieurs ses sourcils,