Page:Jarry Faustroll 1911.djvu/113

La bibliothèque libre.
Aller à la navigation Aller à la recherche
Cette page a été validée par deux contributeurs.
113
DU DOCTEUR FAUSTROLL

roue de laiton, que je garde entre l’hébétude des doigts abstraits de mon corps astral, est la quatrième puissance de huit mètres par heure ; j’espère, dépourvu de mes sens, reconnaître la couleur, la température, la saveur, et des qualités autres que les six, au seul nombre des radiants par seconde…

« Adieu : j’entrevois déjà, perpendiculairement au soleil, la croix au centre bleu, les houppes rouges vers le nadir et le zénith, et l’or horizontal des queues de renard ».

XXXIX
SELON IBICRATE LE GÉOMÈTRE
Petits crayons de Pataphysique d’après Ibicrate le Géomètre et son divin maître Sophrotatos l’Arménien, traduits et mis en lumière par le docteur Faustroll.
I. — Fragment du Dialogue sur l’Érotique.
MATHETÈS

Dis-moi, ô Ibicrate, toi que nous avons nommé le Géomètre parce que tu connais toutes choses par le moyen de lignes tirées en différents sens et nous as donné le véritable por-