Page:Jarry Faustroll 1911.djvu/87

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
87
DU DOCTEUR FAUSTROLL

Et t’appeler ainsi (la b.) qu’une fleur des sommets (sol dièze, si naturel).

Quelques femmes proposent un nom : « Atari. » D’autres : « Féi. » Les P. F. : « Non ! (Pédale. Deux soupirs ½) Lo-ti (si-fa, pédale, point d’orgue). »

Les P. F. : « Désormais (péd. péd.) qu’il se momme Lo-ti. » Toutes l’entourant : « C’est l’heure du baptême ! (Un peu solennel). Au pays des chansons, Au pays où l’on aime (soupir), Lo-ti (mi b, do, soupir, cresc.), Lo- (do) ti (mi b) sera ton nom suprême (SIC). »

Les petites femmes (cont.) Au pays des chansons, Au pays où l’on aime, Loti, Loti sera ton nom suprême (deux soupirs). Lo-ti (mi b., mi b.) nous t’appelons, Lo-ti nous t’appelons, et (p. p.) nous te bénis- (si b. à la clef) sons ! (Grand tapage).

La soupape s’ouvrit, la musique cessa ; l’aspersion faite, l’évêque rassujettit son anneau, imposa les mains, confirmant par ce geste autorisé la bénédiction des P. F. Puis, simplement, il rompit le jet.