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naissent de la tête.
S’il m’étoit permis de mêler le sacré avec le prophane, on pourroit dire en prenant à la lettre, ce que l’Ecriture dit de Moyse, en suivant l’erreur des peintres & des sculpteurs, & en continuant le parallele qu’un Auteur anonyme a voulu faire de la religion des Gaulois avec celle des Juifs ; on pourroit, dis-je, assurer que les cornes de cet initié, signifient la fureur divine dont il étoit saisi au tems de sa mutilation, comme la splendeur du visage de moyse, & le terme