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auprès des grands chemins, il les falloit tourner en sorte que les passans, pussent regarder dedans, & saluer les Dieux en chemin faisant. »
Si quelqu’un observa religieusement ces régles, ce furent sans doute les Gaulois, puisque les lacs, les marais, les fontaines & les fleuves étoient pour eux un signe auquel ils attacherent d’abord le souvenir de la présence de leurs Dieux ; qu’ils les déïfierent même dans la suite, & qu’ils les regarderent comme leurs plus grandes Divinités. Il n’est