la reconnaissance et de la joie, c’est alors que les muses françaises, s’élevant vers la postérité, chanteront la paix que tu auras donnée au monde.
« Ô vous que nous venons d’admettre dans notre sein, et vous aussi, candidats futurs qui aspirez à ce dernier asile de la philosophie, qui devez un jour jeter quelques feuilles de cyprès sur nos humbles tertres, comme nous
en avons jeté sur ceux de nos prédécesseurs, ah ! vous les rendrez illustres, si vous y joignez quelques rameaux des oliviers qui couronnent sa tête ; car nous avons eu aussi part à ses bienfaits ! Mais, dès à présent, célébrez de grandes destinées ; représentez la France, naguère humiliée et malheureuse, s’élevant au plus haut degré de splendeur et de prospérité par les soins de Napoléon. »
Une telle page suffit à juger de l’avilissement de la littérature et personne