Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/102

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IV, 996 ; 1132 ; sa menace d’anéantissement à Paris ; député à la Convention, 1188 ; 1328 ; 1344 ; il abandonne la présidence de la Convention, 1352 ; 1442 : V, 42 ; 72 ; 99 ; 101 ; VI, 159.

Isoré, III, 290 ; 303 ; 311.

Issoire (V.), V, 429.

Issoudun (V.). Manifestation de 1830, VIII. 35.

Issy (V.), XI, 394 ; 424 ; 425 ; le château est pris, 433 ; 434.

Isturiz, ministre espagnol, VIII, 290 et sq.

Italie. Elle est moins prête encore que l’Allemagne à recevoir la Révolution, III. 854 ; campagne de novembre 1795 à février 1797, V, 336 et sq : la politique de Bonaparte en 1797, 338 et sq ; la république cisalpine, 395 ; la campagne de 1800, VI, 106 et sq ; la transformation de la République cisalpine par la volonté de Bonaparte, i30 et sq ; 210, les modifications de 18o5, 216 ; son régime en 1809, 38o ; VIII, 132 ; les insurrections sont réprimées, 140 ; les soulèvements de 1847, l’attitude de Guizot à son égard, 56o ; ses révolutions de 1848, IX, 143 et sq ; l’idée de l’unité italienne depuis 1848, 107 ; le rôle de Cavour, 108 ; le Congrès de Paris, 108 ; Orsini, 110 ; l’entrevue de Plombières et la guerre, 115 ; la guerre et les soulèvements, 119 et sq ; Villafranca, 120 ; les annexions 121 et sq ; les embarras de Napoléon, de 1860 à |863, 137 et sq ; 247 ; d’Aspromonte à 1866, 255 et sq ; de Custozza à Mentana, 279 et sq : situation où la plaçait le traité entre la France et l’Autriche, du 10 juin 1866, XI, 30 ; il n’y avait là pour elle que déshonneur et déception, 30 ; le plan de triple alliance avec la France et l’Autriche s’esquisse en 1869, XI, 160 ; 169 et sq ; 238 : la question romaine en 1871, 50 ; sa situation en 1873, 113 ; mouvement antifrançais à l’occasion de la Tunisie, 235 ; le mouvement de 1830 ; le régime de l’Italie depuis 1815, VIII, 106 et sq.

Iung, V, 142 et sq ; 36q ; 412 ; 519.

Ivry (V.). Le Congrès du parti ouvrier français en 1900, XII, 305.



J


Jackson (Samuel), secrétaire de la Société constitutionnelle de Manchester, 111, 202.

Jaclard, X, 286 ; son rôle dans les réunions publiques, 328 ; 332 : il suit Bakounine à Berne, 336 ; XI, 275 ; 287 ; 393 ; 451 ; 464.

Jacobins. Ce club a son origine dans le club breton, I, 318 ; 476 ; jugés par Fersen, 664 ; leur attitude en face des Cordeliers républicains en 1791, 726 et sq ; leur attitude piteuse après le 17 juillet, 734 ; leur manifestation électorale du 22 août 1792 ; III, 30 ; peu fréquentés par les Girondins, 387 ; ils prennent position contre les Girondins, 398 : leur circulaire du 15 octobre, 398 ; leurs relations avec Dumouriez en janvier 1793, 929 et sq ; leurs rapports avec les groupements révolutionnaires, IV, 1020 ; leurs hésitations sur la question des subsistances, îo23 ; 1029 ; leur hostilité contre les émeutiers du 25 février 1703, 1040 ; ils s’effraient du mouvement contre la propriété, 1071 ; ils poussent le peuple à la lutte politique contre les Girondins pour faire oublier leur résistance à ses revendications sociales, 1074 ; leur attitude le 10 mars 1793, 1132 ; 1142 ; leur appel aux départements contre les Girondins en avril, 1194 ; ils veulent limiter l’épuration de la Convention aux chefs, 1194 ; leur attitude vis-à-vis de l’évéché, 1258 ; ils sont entraînés à l’action contre la Gironde, 1302 ; leur séance du 19 mai après la nomination de la Commission des Douze, 1310 ; ils évitent. le 27 mai 1793, tout ce qui pourrait ressembler à un signal d’action, 1356 ; la séance du 29 mai, 1362 et sq ; leurs impressions le soir du 31 mai, 1425 et sq ; ils ne concluent pas, 1430 ; ils flétrissent Jacques Roux, 1606 ; se joignent à la Commune le 4 septembre 1793, IV, 1673 ; demandent la Terreur à l’ordre du jour, 1675 ; l’épuration est demandée par Robespierre, le 29 novembre, contre les Hébertistes, 1734 ; ils deviennent le champ clos des partis, 1737 ; tout dévoués à Robespierre jusqu’au 9 thermidor, 1815 ; V, 24 ; attaqués. 27 ; comment on veut ruiner leur crédit, 28 et sq ; ils sont atteints par la campagne contre Carrier, 35 : leurs séances suspendues, 40 ; la lutte se développe contre eux de janvier à août 95, 70 et sq ; leur tentative de reconstitution en 1797, 419 ; part ; qu’on désigne de ce nom en 1799, 542 ; reconstitution de la Société au Manège, 544 ; dans quelle mesure leur attitude maladroite poussa certaines classes vers Banaparte, 542 ; ils fournirent surtout un bon prétexte aux modérés, 555 ; leur