Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/143

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Londres en réponse à Burke ; c’est un cri de misère significatif, III, 743.

Observatoire (section de l’), 11, 1268 ; son rôle le 31 mai, IV, 1408 ; V, 86 ; 205.

Ocharitz. Envoyé d’Espagne, son rôle dans le procès du roi. IV, 936 et sq.

O’Connel, VIII, 382.

Obock (V.), XII, 244.

Octobre (Journées des 5 et 6), I, 339 et sq.

8 Octobre 1870 (Mouvement du), XI, 258.

31 Octobre 1870 (Journée du), XI, 14, 259.

Octrois. Leur suppression à Lyon en 1789, I, 419 ; en 1790, 422 et sq ; leur rétablissement, 425 ; leur suppression complète par la Constituante en 1791, 598 ; fête dans Paris, 598 ; leur organisation par la Convention, V, 154.

Odéon, V, 225, 226.

Odger (Georges). Trade unioniste, X, 236 ; 238 ; son rôle à la fondation de l’Internationale, 240 ; 243.

Œuvre des Fraternités. Tentative de 1848, IX, 314.

Offices. Leur liquidation, II, 1020 et sq.

OFFICES MINISTÉRIELS. Leur vénalité est respectée en 1848, IX, 118.

Office du Travail. Les Associations professionnelles, VI, 264 ; 547 ; X, 192 ; 204.

Ogé. Organise la révolte des mulâtres à Saint-Domingue, I, 568.

Oise (Dép.). V, 190 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522.

Okolovicz, combattant de la Commune, XI, 391.

Oldenbourg, (Duché d’). La question pendante entre la France el la Russie en 1809, VI, 385.

Olivier. Sa culture, de 1794 à 1800, V, 274.

Olivier. Directeur de l’enregistrement sous la Commune, XI, 396.

Ollivier (Démosthène), VIII, 423 : proscrit en 1851, X, 27.

Ollivier (E.). Préfet de Marseille en 1848, IX, 87 ; 274 ; son caractère et son ambition, X, 103 ; élu en 1857, 104 ; il refuse le serment, 104 ; proteste contre la loi de sûreté générale, 111, 143 ; son activité au Corps législatif de 1859 à 1863, 147 ; son flirt avec Morny, 148 ; 156 ; élu en 1863, 158 ; 159 ; le droit de grève, 235 ; sa conversion à l’Empire, 259 et sq ; la lutte avec Rouher, 282 et sq ; sa défaite en Juillet 1867, 283 ; 343 ; le ministère de 2 Janvier 1870, 374 ; réformes constitutionnelles, 384 ; le plébiscite, 385 ; sa lutte contre les socialistes, 388 ; sa démission, XI, 8 ; 31 ; sa protestation contre l’annexion de la Belgique, 36 ; c’est l’homme qui a le mieux compris que l’unité allemande était une nécessité et que la France n’avait pas le droit de s’y opposer, 127 ; ses discours sur l’unité italienne, 128 ; il approuve le Gouvernement de ne pas intervenir dans la question des duchés, 129 ; il défend contre Thiers l’unité italienne, à propos de la question romaine, 131 et sq ; après la crise de Sadowa, c’est lui qui interprète les événements allemands avec le plus de liberté et de largeur de pensée, 135 et sq ; son discours du 15 mars 1867, 135et sq ; importance que donne à ce discours sa situation politique, 139 ; son évolution : il avait donné des preuves de constance et de cohérence dans les desseins ; on pouvait semble-t-il espérer de lui une solution du problème allemand conforme à la paix et au droit des nations, mais il avait trop peur de la Révolution ; il manquait de fermeté et de calme, 146 ; il n’est point de force à porter le fardeau du pouvoir, 148 ; sa situation politique quand surgit la candidature Hohenzollern, 167 et sq ; comment il fléchit sur la question romaine et trahit sa propre politique, 172 ; 179 ; ce qu’il aurait pù faire encore du 8 au 10 Juillet 1870, 193 ; son silence le 11 Juillet aggrave la nervosité de l’opinion, 198 ; comment il communique, le 11, la dépêche annonçant le retrait de la candidature, 201 ; l’anarchie du régime, 201 ; la tempête qu’il déchaîne au corps législatif, 2O3 ; son attitude lamentable le 12 Juillet, 208 ; comment il demande les crédits de mobilisation, 225.

Olozaga. Ministre espagnol, VIII, 528 ; ambassadeur d’Espagne à Paris, XI, 200.

Ohimus (D’)_ X, 288 ; son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 411.

Opéra, de 1794 à 1800, V, 223.

Opinion nationale (L’), journal X, 144 ; 195 ; 198 ; 209 ; 211 ; 212 ; 230 ; 257 ; 265 ; 296, 307 ; 323 ; XI ; 291 ; 470.

Oudia. Un des soixante, X, 225.

Orange (République d’). La guerre avec l’Angleterre en 1900, XII, 288.

Orateur du Peuple (L’). Journal de Fréron, V, 70.

Orchies (V.). Le Tiers-État demande la répartition entre les habitants des revenus des communaux, I, 206.

Ordinaire. XII, 41 ; 54 ; 169.

Ordonnances (de Juillet 1830), VII, 240 et sq.

Ordonneau, (général). Son rôle à Lyon en 1831, VIII, 156.