pour le roi ? 922 ; 943 ; ses trois interventions dans le sens de la mort, 944 ; son vote sur la mort du roi, 950 ; sa politique très nette et très réaliste en janvier 1793 ; union à l’intérieur, annexion de la Belgique, 971 ; la théorie des frontières naturelles, 972 ; son rêve d’une Révolution puissante et prudente, 975 ; excès de confiance, 975 ; son retour à la Convention lors de la reprise de la Belgique, sa tactique, 1084 ; sa politique en mars 1793, 1097 ; il se porte caution pour Dumouriez, 1098 ; son intervention pour la création du tribunal révolutionnaire, 1118 ; il demande l’élargissement des prisonniers pour dettes ; pourquoi, 1120 et sq ; 1123 ; il demanda la création du Comité de Salut public, 1127 et sq ; sa mission pour contenir Dumouriez, 1169 ; défiance qu’il inspire après la trahison de Dumouriez, 1174 ; son retour à Paris, 1176 et sq ; sa défense contre les Girondins, 1180 et sq ; son discours du 31 mars aux Jacobins, déclaration de guerre contre la Gironde, 1183 ; son discours de défense contre Lasource, le 1er avril, 1186 ; conciliateur cependant tout en cherchant à faire peur, 1201 ; sa réponse au discours d’Isnard contre Paris. 1328 ; il dénonce la commission des Douze, le 27 mai, 1345 ; le 27 mai il manifeste un commencement d’embarras et de dégoût, 1351 ; travaille encore à l’union, mais trop tard cette fois, le 29 mai 1793, 1359 et sq ; ses conciliabules avec Robespierre et Marat, 1361 ; ce qu’il fit le 30 mai au soir, 1377 ; son rôle le 31 mai, 1404 et sq ; son habileté politique, 1407 ; 1472 ; 1497 ; incapable par son tempérament même, de mener l’action contre Hébert, 1624 ; défendu par Robespierre le 10 juillet, 1626 ; il retrouve sa tactique révolutionnaire à l’anniversaire du 10 août, lors de la levée en masse, 1644 ; sa proposition concernant les assemblées des sections, 1675 ; pourquoi, en septembre, il refuse de rentrer au Comité de Salut public : c’est une faute de tactique, 1680 ; défendu par Robespierre, le 3 décembre 1793, 1724 ; erreurs de sa politique à l’égard du Comité de Salut public, 1728 ; sa responsabilité dans les intrigues dantonistes, pourquoi on a pu le soupçonner de royalisme, 1735 et sq ; 1742 ; son procès et sa fin, 1768 ; 1819 ; sa politique dans le Levant, V, 375.
Dantonistes. Pourquoi ils ne soutinrent pas Robespierre ni le Comité de Salut public, IV, 1727 et sq ; leur situation après le rapport du 8 ventôse an II, 1752 ; comment il fallut pour les accuser, calomnier toute leur vie ; leur fin, 1768 et sq.
Dantzig (V). Le siège de 1807, VI, 223 ; 320.
Darasz, X, 96.
Darboy (archevêque), XI, 403 ; sa lettre à Thiers pour l’échange de Blanqui, 404 ; sa mort, 459.
Darc (Jeanne), III, 146 ; les cléricaux veulent manifester à son sujet, XII, 218.
Dareste, I, 682 ; IV, 933 ; 953.
Dargent, X, 209.
Darimon. Penche à l’abstention dès 1857, X, io3 ; élu en 1857, 104 ; prête serment, 104 ; élu en 1863, 158.
Darmès. Son attentat contre Louis-Philippe, VIII, 401.
Darnétal (V), VIII, 67.
Darrimajon. Élu représentant de la Commune de Paris le 1er août 1789, I, 310.
Darthé, babouviste, V, 294 ; 304 ; 318 ; 327 ; 329 ; son exécution, 332.
Daru, IX, 220 ; ministre des Affaires étrangères, X, 374 ; démissionne, 385 ; XI, 175.
Darwin, VIII, 91.
Dasch, professeur à Mayence, ami de Forster, III, 586.
Daube, ami de Babeuf, V, 20.
Dauban, 111, 436 ; IV, 1376 ; 1591.
Daubenton. Nommé sénateur, VI, 51.
Daubermenil, député à la Convention, III, 111.
Daude, concierge de la prison de Vendôme, V, 332.
Daudel (général). Son rôle le 3 avril 1871, XI, 359.
Daudet (Ernest), V, 130 ; 338 ; 363 ; 538 et sq ; VI, 136 ; 186.
Dauïou, commissaire de section, II, 1278.
Daumas. Élu en juillet 1871, XII, 22, 41.
Daumesnil, VIII, 32.
Daumier. Ses caricatures, VIII, 521 ; IX, 207 ; XII, 39.
Daunou. Son rôle au procès du roi, IV, 922 et sq ; 1583 ; rapporteur de la loi sur l’enseignement, en 1795, V, 187 ; 188 ; 281 ; 402 ; VI, 28 ; chargé de rédiger un projet de Constitution par Bonaparte, 33 et sq ; nommé tribun, 5i ; 59 ; sa nomination comme sénateur irrite Bonaparte, 160 ; éliminé du Tribunat, 161.
Dauphiné. Son action révolutionnaire au XVIIIe siècle tient non à une vague liberté traditionnelle comme le croit Michelet, mais à l’activité de sa bourgeoisie industrielle, 1, 96-97 ; celle-ci a vivement senti l’antagonisme entre les propriétaires fonciers et elle, 105 ; mais elle ne pressent rien de l’opposition future des prolétaires, 108 ; sa fédération en 1790, 551.