Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/89

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premières œuvres : la Méduse, 505 ; VII, I37.

Gerle (dom). Propose de déclarer la religion catholique religion nationale, I, 541 ; IV, 1814.

Germain. Signe une adresse au roi contre la loi des prêtres réfractaires, II, 858.

Germain (Charles), Connaît Babeuf à Arras, V, 282 et sq ; son rôle dans la Conspiration des Egaux, 30g ; 316 : 318 ; 327 ; 329 ; 332.

Germain (Henri), XII, 56.

12 Germinal an VI (Journée du). Insurrection, V, 87 et sq.

Germiny (de), VII, 100.

Gers (Dép.. Organisation de l’enseignement primaire de 1794 à 1800, V. 190 ; organisation de l’enseignement secondaire, de 1794 a 1800, 196 ; sa culture, 267, 278 ; l’insurrection royaliste en l’an VII, 536 ; X, 19 ; la répression, 26.

Gertruydenberg (V.). Pris, IV, 1084.

Gervais (Amiral), XII, 257.

Gerville-Réache, XII, 287 ; son ordre du jour dans l’affaire de la Martinique, 288.

Geugenot (de), 1, 685.

Gex. Opposition de sa noblesse et de son Tiers État à la question des biens communaux, I, 207.

Gilibert, médecin lyonnais, IV, 1057 ; maire en février 1793, 1068.

Gill (André). XI, 399.

Gillaud, rédacteur à l’Atelier, VIII, 372.

Gilly. Elu par Marseille pour la Convention de Bourges, IV. 1634 ; renvové devant un conseil de guerre, VII, 78 ; condamné à mort, 112.

Ginguené, VI. 158 et sq : éliminé du Tribunat, 161.

Gioberti, IX, 145.

Girardet (A.), graveur du premier Empire, VI, 508.

Girardin (Stanislas de), VI, 5i ; VII, 155.

Girardin (E. de), tue Carrel, VIII, 284 ; ses origines, protégé de Martignac ; ses journaux, 284 ; la Presse, 286 ; 425 ; 428 ; invite Guizot à la réforme électorale. 537 ; 545 ; IX, 24 ; 91 ; 124 ; 128 ; developpe en 1848 un projet de Gouvernement direct qui mène droit au despotisme, 255 ; 271 ; 324 ; 375 ; son idée de la grève générale, X, 12 ; 160 ; 213.

Girardin (Mme de), IX, 126.

Girardot, II, 1042.

Giraud (Vincent), conspire avec Huber, VIII, 332.

Giraudeau, XI, 177 ; 179 ; 212.

Girerd (Cyprien), 140 ; 172 ; 211.

Girey-Dupré. Accuse Robespierre d’être d’accord avec les contre-révolutionnaires, II, 1181 ; traduit à la barre de la Commune, résiste, 111, 33 : IV, 1406.

Girod (de l’Ain), VIII, 16 ; président de la Chambre, 121 ; 402.

Girodet, peintre, V, 222 ; VI, 503.

Giromagny (V.). Son école pratique, V, 206.

Gironde (La), journal, X, 152.

Gironde (Dép.). Ses élus à la Convention, III, 111 ; Cf. Girondins.

Girondins. Toute leur politique consiste a secouer la fatigue de la nation en recourant à l’aiguillon de la guerre, II, 824 ; ils osèrent et furent seuls à oser en 1792 ; de là leur ascendant ; 835 ; ils font de la guerre une formidable manœuvre de politique intérieure, 837 ; ménagent le roi pour cacher leur jeu et surexcitent les sentiments ouvriers, 838 ; leur politique religieuse même est dominée par leurs préoccupations extérieures, 851 ; réjouis et inquiets de la politique de Narbonne, 880 ; leur politique compliquée à l’égard de Narbonne, 882 ; début de leur haine contre la Montagne, 896 ; leur audace sournoise dans la question de la guerre, 928 ; la paix restait possible en mars 1792, mais ils cherchaient à susciter la guerre par surprise, 931 ; leur avènement au pouvoir, 941 ; leurs conceptions économiques ; ils sont plus préoccupés d’assurer l’abondance et la circulation des richesses, que de régler leur distribution, 1011 ; ils sont dès 1792 en désaccord avec le peuple ouvrier de Paris, 1012 ; leur ministère flotte de l’incapacité à l’intrigue, 1164 ; leur situation en avril 1792 ; ils demandent des poursuites contre Marat, 1167 ; ils sont incapables dès avril 92, de mener leur propre politique, 1167 ; ils eurent le mérite de poser les problèmes, 1175 ; leur tactique en proposant le camp sous Paris, 1176 ; ils sont dans le sens de l’action révolutionnaire en juin, 1181 ; leur embarras après le renvoi des ministres, 1192 ; rapprochés de Robespierre par l’intervention de La Fayette, 12o3 ; leur attitude après le 20 juin, 1211 : leurs hésitations dans la période qui précède le 10 août, 1245 et sq ; le 8 août, ils sentent la crise inévitable, 1282 ; jugement sur leur œuvre à la Législative, 1314 et sq.

Ils veulent en finir avec la Commune, fin août, III, 33 et sq ; leur discorde avec Paris semble s’effacer devant l’ennemi, 49 ; ils veulent profiter des massacres pour relever l’autorité de l’Assemblée en face de la Commune, 76 et sq ; toute leur lutte à mort contre la Montagne s’annonce dès les journées de septembre, 83 et sq ; leur propagande électorale en