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Page:Jean Mestrezat - Le Hibou des Jésuites opposé à la corneille de Charenton.djvu/15

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12 sonnes qui conteront ses paroles au lieu de peser les raisons. C'est pour- quoy il tache de remplir le monde de ses beaux livres , & les recommande au prône. C'est un homme prévoyant, il a eu peur que les beurrières n'eussent faute de papier : Si elles sont bien conseillées, elles deputeront vers luy pour l’encourager de continuer de bien en mieux.

Or comme nous aurions tort de comparer Veron à la Corneille d’Homere, aussi d’autre côté sommes- nous fondes en très bonne raison, de l'appeller le Hibou des Jesuites, Car ne plus ne moins que les autres oiseaux ne souffrent point le Hibou en leur compagnie, les Jefuites n'ont peu souffrir Veron, ils l'ont banny de leur société, tellement que de le Jésuite il est devenu Pretre seculier. C'est la compagnie qui n’est point