Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/19

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application SMpptéèrent à ce malheur. Ne pouvant acheter des livres, il empruntait tous ceux au’it trouvait, et en transcrivait souvent une grande partie. Il conserva toute sa vie cette habitude d’extraire, qui innua beaucoup sur sa manière d’écrire et sur la direction de tes travaux. En t-~So, il se ren. dit à t’anMenité de Leipack où, en dépit de tous les obstacles qui ~’étaient opposét à ses progrè !, il arriva avec la réputation d’un jetme homme déjà fort eapable. Comme son père, il était destiné à la théologie ; n)aM Mn goùtpour)a poésie)e détourna det’étade decetteMaence, qn’itnni[mén)epar abandonner toutà-fait après avoir reçu têt ordres. Alors, ne sachant trop que faire, il accepta d’abord une place de précepteur dans une famille riche ; il prit ensuite chez lui des étèves, et il en changeait à peu près amsi couvent que de façon de nwe. Sur ces entrefaites, il était devenu auteur ; et, dam ses courses en Allemagne, il avait poMié, tmtotdans un pays, tantôt dans un antre, les plus étranges livres sous tes titres les plus étranges par exemple Les Procès du CMex&M~ Aee~~tXM <M~’<p~ae< MtM & cn&:e ’f<o ! e géante ; CAo~ </< papiers ~<t diable, etc.* Matgré leur extravagance apparente, ces productions, qa’on neMomit analyser ni décriff, annonçaient de brillantes <acnM< dans leur auteur ; e)hM étaient empreintes d’une vigueur pt’n commune, et