Page:Jean Paul - Titan, t. 1, 1834, trad. Chasles.djvu/302

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Sphex eu allemand. Et s’adressant aux filles, il termina ainsi son allocution paternelle – ~ous êtes une couple d’oies, qui n’attM à l’église que pour y caq~ueter de vos cluffous. Pourquoi ne faites-vous pas ait eu tiou à ce que dit le prédicateur ? C’est uuane, il est vrai, maisenfin pour des ânessescomme vous il prêche toujours assez bien ce soit vous me réciterez son sermon. entendez-vous ?

– Voici, monsieur le comte, une potion laxative que je vous prierai, puisque vous allez a Lilar, de vouloir bien remettre a madame l’inspectrice provinciale des hatimens ; elle est pour ses petits marmots ; mais, je vous eu supplie ne prenez pas cette commission en mauvaise part.

Le comte qui, dans toute autre circonstance, lui eut jeté sa potion au nez et tourne le dosavec mépris, ne put rien refuser au sauveur de Liane, d’autant mieux que la potion était pour les encans de son cher Dian, à l’épouse du quel il avait des complimens à porter de sa part.