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Page:Jeanne-Landre-Echalote continue 1910.djvu/68

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ÉCHALOTE CONTINUE…

attouchements du soi-disant esprit étaient un piège. La main supposée irréelle, qui depuis une heure se manifestait sur ses jambes, était toujours à la même place et bien vivante.

Pourtant, elle ne fit pas d’esclandre. Nouvelle venue dans ce milieu, elle ignorait s’il ne lui serait pas possible d’y exercer sa petite industrie. Suivant une forte parole de M. Plusch, elle se répéta qu’un bon chien vaut mieux que deux qui tuent les rats et échangea avec la main indiscrète un au revoir sans rancune.