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Page:Jeanne-Landre-Echalote continue 1910.djvu/92

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ÉCHALOTE CONTINUE…

s’allument un peu partout les girandoles électriques, et les nuits, ces satanées nuits, où l’on ne peut guère songer à aller dormir tandis que tout papillonne, flirte et gigote autour de vous.

Il avait essayé de faire partager ses craintes à Échalote :

— Ma cocotte, crois-moi, t’as tort. Je ne suis plus d’un âge où l’on reste chez soi en songeant à la femme aimée. Bien que très près, nous le savons, de la période heureuse de l’impuissance, peuh, peuh, je ne peux me décider à ne jamais dormir que dans les bras de l’orfèvre, d’abord

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