Page:John Ruskin par Frédéric Harrison.djvu/302

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rouges qu’il aimait tant, déposée par sa cousine Jeanne Severn.

« Rien de noir ne parut à ses obsèques, en dehors de celui qui assombrissait nos cœurs meurtris » a écrit son ami et son secrétaire dans cette « Vie de Ruskin » qui est un si admirable tribut à la mémoire de son maître.

Ne laissons donc pas s’assombrir le souvenir que nous gardons de lui — voilà ce que pensent tous ceux d’entre nous qui aiment une splendide nature et qui honorent un rare génie.