Page:Jolimont - Les mausolées français.djvu/240

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avec un zèle et un dévouement qui font honneur à sa philantropie. Les fatigues et les veilles altérèrent sa santé, mais il ne voulait prendre aucun repos. Les malades, disait-il, ont besoin de moi ; je ne puis les faire attendre. On le vit souvent fréquenter le réduit du pauvre ; et la surtout, sa main bienfaisante joignait sans cesse des marques de libéralité aux consolations et aux secours de son art. Il est mort universellement regretté le 22 novembre 1814.