URQUIJO.
n ne peut se défendre d’abord d’une sorte d’étonnement, en considérant au milieu des tombeaux la forme élégante de cette rotonde de marbre blanc, dont la coupole est légèrement soutenue par huit colonnes d’ordre dorique, et dont l’aspect gracieux rappelle plutôt l’idée d’un temple digne de figurer dans les bosquets d’Idalie, que celle d’un monument funéraire. Celui qui en conçut le plan sentit, sans doute, la nécessite d’en justifier l’idée ; et l’on ne peut qu’applaudir à l’heureuse pensée, exprimée en lettres d’or, sur une des faces du cénotaphe placé au milieu de cette colonnade :
Pensée d’autant plus heureuse, qu’elle renferme un hommage juste dû au mérite du chevalier d’Urquijo.
Du côté opposé est écrit :
Sur une autre face du cénotaphe est gravé aussi en lettres d’or :