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ACTE QUATRIÈME.
CORVINO.
C’est bien à quoi j’ai réfléchi. Et ç’a été sa faute à elle.
MOSCA.
Et c’eût été la vôtre, autrement.
CORVINO.
C’est vrai ; je me méfie encore de l’avocat.
MOSCA.
Vous avez tort, en vérité. J’ose vous soulager de ce souci.
CORVINO.
J’ai confiance en toi, Mosca. (Il sort.)
MOSCA.
Comme en vous-même, monsieur.
CORBACCIO.
Mosca ?
MOSCA.
Maintenant, à votre affaire, monsieur.
CORBACCIO.
Vous avez à faire ?
MOSCA, plus haut.
Je parle de votre affaire.
CORBACCIO.
De la mienne seule.
MOSCA.
D’aucune autre, monsieur.
CORBACCIO.
Prends des précautions.
MOSCA.
Dormez des deux yeux, monsieur.
CORBACCIO.
Dépêche-toi.