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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 3.djvu/527

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que cette équation donne

dont l’intégrale est

étant une constante arbitraire ; d’où l’on tire

et comme en faisant on a déjà il est clair que la constante demeure à volonté.

Si l’on néglige le terme vis-à-vis de l’unité, on a

c’est-à-dire que les différences de chaleur sont proportionnelles aux différences de hauteur, en sorte que les hauteurs étant prises en progression arithmétique, les degrés de chaleur le seront aussi ; mais on voit par notre formule que cette loi, qui est celle de M. de Luc, n’est vraie que par approximation.

7. Si l’on voulait trouver une relation entre et il n’y aurait qu’à faire pour plus de simplicité et pour avoir d’un côté

et de l’autre