Je conclus de là que, si l’on considère ces deux séries
qui sont supposées données, et qu’on dénote pour plus de simplicité les termes de la première par
et ceux de la seconde par
qu’ensuite on prenne les différences successives des termes de cette dernière, lesquelles soient dénotées par la caractéristique en sorte que l’on ait ; comme on sait,
qu’on suppose enfin que la première suite soit continuée en arrière par les termes
lesquels soient respectivement égaux à
en sorte que l’on ait, en général,
on aura la formule
dans laquelle toutes les quantités seront connues.