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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/148

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

sion de la loi sur la trahison et l’espionnage ; il reproche au Conseil de guerre de n’avoir pas condamné Dreyfus à mort ; violents incidents de séance ; la censure est votée contre lui, 476-478. — Sollicité par Bernard Lazare en faveur de Dreyfus, II, 428. — Opinion nouvelle qu’il se forme ; il cherche à entraîner les socialistes dans la campagne revisionniste, III, 33. — Réclame la publicité des débats du procès Esterhazy, 195, note 5. — Son intervention à la Chambre lors de l’interpellation De Mun sur la lettre J’accuse, 235. — Impression qu’il ressent des lettres de Dreyfus, 252, note 1. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Son discours à la suite de l’interpellation Cavaignac (séances des 22 et 24 janvier 1898) ; incident De Bernis, 307-314. — Sa déposition au procès Zola, 405-406 et note 1. — Sa profession de foi aux élections de 1898, 582 ; son échec, 587 et note 3. — Figure parmi les révisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute-Cour, IV, 125. — Les Preuves, 138-140. — Son attitude à l’égard de Brisson, 146. — Prend part à la campagne de réunions publiques en faveur de la revision, 271. — Membre du comité de vigilance institué par les socialistes en octobre 1898, 329. — Se rallie à l’hypothèse de la complicité d’Henry et d’Esterhazy, 432. — Pris à partie par des souscripteurs des listes rouges, 443, note 1. — Réclame la mise en accusation de Mercier, V, 122, 123, 126. — Son rôle dans l’Affaire comparé à celui de Millerand, 163-165. — Son attitude lors de l’entrée de Millerand dans le cabinet Waldeck-Rousseau, 171 et note 1 ; 172, note 1. — Prévoit l’acquittement de Dreyfus par le conseil de guerre de Rennes, 228, note 1. — Ses articles sur le procès, 269, note 2, 291, 333, note 2, 337 ; sur l’attentat contre Labori, 342, note 2 ; 361, note 3 ; 368, note 1 ; sur la plaidoirie de Demange, 522 et note 2 ; sur le verdict, 542. — S’oppose d’abord à la grâce de Dreyfus, 546-547 ; 552. — Discussion à ce sujet entre Clemenceau, Millerand, Joseph Reinach, Gérault-Richard et lui, 556. — Se rallie à la grâce, 557. — Son opinion sur l’amnistie, VI, 58. — Réélu député de Carmaux, 182, 188. — Lettre qu’il reçoit du docteur Dumas au sujet des entretiens de celui-ci avec le commandant Merle, 212, note 1. — Informé des découvertes de Mathieu Dreyfus ; propose de porter devant la Chambre la question du bordereau annoté, 215-217. — Attaques d’Urbain Gohier contre lui ; sa réponse, 218. — Son article sur l’affaire Humbert, 226. — Sa réponse au discours de Ribot (séance du 18 mars 1903), 231. — L’élection de Syveton devant la Chambre ; son discours sur le bordereau annoté (séances des 6 et 7 avril 1903), 233-234. — La lettre de Pellieux, 234-235. — Réclame une enquête administrative sur le bureau des renseignements, 240. — Lettre qu’il reçoit de Ferlet de Bourbonne au sujet du bordereau annoté, 247. — Son attitude lors du discours de Guyot de Villeneuve sur la délation dans l’armée, 406. — Son interpellation à la séance du 4 novembre 1904, 413, 415, 420, note 4. — Son discours du 27 mai 1905 sur les théories antimilitaristes, 431. — Sa réélection en 1906, 437, note 1. — Signe la proposition tendant au transfert des cendres de Zola au Panthéon, 496, note 5.

Javal (Émile), membre de l’Académie de médecine. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2.

Jeanmaire, négociant à Mulhouse. Sa déposition au procès de 1894, I, 428. — Avise Scheu-